RestoFlash 4+

Le seul titre resto utilisable vraiment partout et sans limite de montant

Les titres restaurant & bons repas sur mobile

Les 900€ de solde sur la carte resto, inutilisables à cause de la limite à 25€ ? Les « on rend pas la monnaie », et « on ne prend pas la carte », « on n'accepte plus les tickets papier ici » ?
Avec RestoFlash, c'est fini !
On vous invite à nous rejoindre pour dire adieu aux tracas des supports obsolètes !

Avec Restoflash, vous transférez vos titres restaurant ou autres bons repas sur votre/vos mobile(s) pour bénéficier de la richesse et de la praticité du numérique sans subir les contraintes du papier ou des cartes (limites de montants, limites de réseau acceptant...)

Sans limite, ça veut dire universel, avec plus de 220 000 restaurants qui vous ouvriront leurs portes. 220 000, c’est TOUS les restaurants qui sont autorisés à prendre des titres restaurant : aucun support ne peut faire mieux !

Au menu, retrouvez l'onctuosité d’une application qui dépasse les possibles :
- Régler au centime près. Mine de rien, ça change la vie.
- Ne plus être strictement limité à 25€. Les limites, c’est soooo 2015.
- Un plat de sushi à 8h du matin ? une salade caesar à 23h ? Vous êtes atypique, et on vous aime comme vous êtes : pas de limite horaire !
- Vous aimez vous faire servir à domicile ? Frichti, FoodChéri, Deliveroo, UberEats : utilisez vos titres sur toutes les plateformes de commande !
- Les bons plans, c’est bien. Les mettre en avant, c’est mieux.
- Anticiper les pauses-déj et repérer les pépites du coin : on a pensé à vous, on a pensé à tout !
- and so on...

Alors pour découvrir tout cela, rien de plus simple, l'inscription est gratuite et immédiate : si votre employeur vous a déjà ouvert l'accès de Resto Flash, vous recevrez immédiatement vos identifiants de connexion. Sinon, un peu de patience : votre inscription va nous permettre de privilégier votre entreprise, vous recevrez bientôt votre email d'activation !

C’est gratuit.
C’est immédiat.
C’est sans engagement.
Et en cas de pépin, on a une care team d’enfer